Le Serrurier est une femme

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il y a 7 ans

Le Serrurier est une femme

La sonnette retentit quand j'entrai dans la boutique, et une femme blonde, assise sur un banc, leva le regard vers moi. « Puis-je vous aider ? », me demanda-t-elle, en posant un petit tournevis sur le banc.

Je m'éclaircis la gorge. « Je cherche un serrurier », commençai-je nerveusement.

« C'est moi le serrurier. Que puis-je pour vous ? »

« J'espérais plutôt trouver un homme », grommelai-je. « Il n'y en a aucun qui travaille ici ? ». Elle secoua la tête.

« Non, il n'y en a pas. Pourquoi voulez-vous un homme ? »

Je rougis, mais j'insistai. « C'est personnel. Il y a peut-être une autre serrurerie pas trop loin d?ici ? »

Elle secoua la tête, et me dit d'une voix irritée, « Non, il n'y en a pas d'autre. J'espère que vous n'avez rien contre les femmes ? Je suis tout à fait qualifiée pour ce travail, vous savez. »

Un long moment passa, et je compris que je n'avais pas d'autre choix. Ma gorge se serra et je me sentis rougir encore plus fort.

« Eh bien, commençai-je nerveusement, c'est que... c'est que... , c'est que je porte cette satanée ceinture de chasteté et je n'ai pas la clé pour l'enlever ».

Ses yeux s'élargirent. « Oh, vous me faites marcher, là ? »

Je secouai négativement la tête, j'aurais voulu que le sol m'engloutisse.

« Non, Madame, c'est ... c'est très sérieux. »

« Vous avez perdu la clé ? », demanda-t-elle, encore incrédule.

J'acquiesçai d'un léger hochement de tête, incapable d'en dire davantage. Elle me fixa intensément, puis au bout de quelques secondes elle me dit, « Eh bien d'accord, je vais voir ça. » Elle alla vers la porte, retourna vers l'extérieur la pancarte marquée

Fermé, puis donna un tour de clé.

« Voilà, nous sommes tranquilles maintenant », dit-elle en revenant vers moi, un léger sourire aux lèvres. Je lui retournai timidement son sourire.

« Je m"appelle Paméla, dit-elle, en se plantant devant moi.

« Moi c'est Bill », répondis-je.

« Eh bien Bill, faites-moi voir ça.. »

Rougissant encore, j'enlevai rapidement mon jean et mon slip, découvrant ma queue enfermée dans son tube de métal. Paméla regarda celui-ci de près, et siffla légèrement..

« Intéressant. », murmura-t-elle, « En fait, je trouve ce dispositif très

astucieux. Où donc est le trou de la serrure ? »

Je le lui montrai du doigt.

« Hum, c'est tout petit et mal placé, ce sera difficile. Eh bien allons-y», dit-elle d'un ton froidement professionnel. « Enlevez tous vos vêtements et asseyez-vous sur le banc. »

« Tout ??? »

« Oui, la chemise va gêner. Il est possible que j'aie besoin de percer

un trou dans le métal, et je suppose que vous ne voudriez pas que le foret glisse et vous blesse, n'est-ce pas, »

« Non! bien sûr... », murmurai-je, et je me déshabillai rapidement.

« Comment ça se fait que vous portiez ce truc ? », me demanda-t-elle en disposant ses outils près de moi sur le banc.

« C'est? c'est ma petite amie qui me l'a mise », murmurai-je avec gêne, très humilié de me sentir nu, assis devant cette femme qui me questionnait sur un sujet aussi intime.

« Vraiment ? », dit Paméla en fronçant les sourcils. « Et quel effet ça fait exactement ? »

« Euh, », murmurai-je, « ça ... ça m'empêche d'avoir des érections. »

« Oh », se contenta-t-elle de dire en plaçant quelques outils supplémentaires sur le banc. Puis elle alla chercher un tabouret, et ainsi elle put s'asseoir entre mes jambes écartées.

« Pourquoi vous l'a-t-elle mis ? », me demanda-t-elle après un moment.

« Elle aime contrôler... », répondis-je gauchement. Puis je précisai, « Elle aime me rationner. »

« Vous rationner ? », s'étonna-t-elle.

.« Rationner mes orgasmes », expliquai-je, en rougissant furieusement.

Paméla continuait à travailler avec efficacité. Elle prit un petit outil, et commença à sonder le trou de la serrure. Puis, après un moment, elle dit, en fronçant les sourcils,

« Je ne comprends pas. En vous rationnant, elle se rationnait en même temps que vous. Elle n'aime donc pas le sexe ? »

« Oh si elle aime ça ! C'est le nombre de mes orgasmes qu'elle limitait, pas les siens ! En fait elle en avait même beaucoup, en général très plaisants pour elle. »

« Comment ça ? Avec un autre homme alors ? », me demanda-t-elle. En même temps, je sentais ses mains s'activer tout près de mes organes génitaux, et ma queue amorça en vain une tentative de redressement, rudement endiguée par le tube de métal.

« Non, non, c'est moi qui les lui prodiguais ... avec ma bouche... », dis-je faiblement.

« Oh, je vois », dit-elle, rêveuse, en saisissant un autre outil. « Tout pour elle et rien pour vous ! Pas mal du tout ! Et la clé, qu'est-ce qui lui est arrivé ? »

« À la suite d'une dispute, elle s'est mise v i o l emment en colère et elle a jeté la clé dans la mer ! Et puis elle m'a jeté moi aussi, en me disant qu'elle ne voulait plus jamais me voir ! »

Paméla actionna délicatement son outil. « Vous avez de la chance, je pense que je ne vais pas tarder à vous enlever ce truc sans rien casser », dit-elle. Puis elle ajouta, « Ça a du être une grosse dispute alors ! C'était pourquoi ? Qu'est-ce que vous lui aviez fait pour la mettre autant en colère ? »

« Je ne lui avais rien fait du tout ! », protestai-je. « Elle voulait que je la regarde faire l'amour avec un autre homme, vous vous rendez compte ?

J'en avais déjà beaucoup supporté d'elle, mais là c'était vraiment le comble! »

« En effet, c'était hardi de vous demander ça !? Voilà, ça y est », dit-elle en déclenchant l'ouverture de la serrure, et en faisant glisser le tube vers le bas. Un sentiment de soulagement m'envahit. En même temps je sentis mon pénis durcir et pointer vers elle. Paméla le regarda avec un sourire espiègle. « Ça fait combien de temps

depuis la dernière fois ? »

Je compris sans peine ce qu'elle voulait dire. « Trois semaines », répondis-je, la figure brûlante.

« Tant que ça ? », s'étonna-t-elle. « Pourquoi n'êtes-vous pas venu plus tôt

? »

« J'ai d?abord essayé de me libérer moi-même, mais hélas sans y parvenir. Je n'ai pas osé me servir d'outils pointus ou tranchants j'avais peur de me blesser. »

« Oui en effet il vaut mieux pas, ce n'est pas un travail d'amateur. »

« Ensuite j'ai longtemps hésité avant de montrer ce truc à un serrurier, j'avais honte. Mais après trois semaines d'enfer, je ne pouvais vraiment plus tenir. Alors j?ai roulé comme un fou pendant 300 kilomètres un peu au hasard, pour m'éloigner de chez moi. En traversant ce village j'ai aperçu votre serrurerie, alors je suis entré ».

« Tu as bien fait. Tu sais, Bill, je te trouve plutôt mignon », me dit-elle doucement.

Je sursautai quand sa main se referma autour de ma queue et commença à la caresser très légèrement.

« Tu trouves ça agréable ? », ronronna-t-elle au bout d'un instant.

J'acquiesçai avec enthousiasme, mon coeur battait la chamade. Elle commença à me masturber un peu plus fort.

« Est-ce que tu sais où tu vas-tu loger ce soir ? », me demanda-t-elle, pendant que sa main continuait lentement son mouvement de va et vient.

« Non, je ne sais pas », murmurai-je. « Je suppose que je dormirai à l'hôtel. Mes bagages sont dans la voiture. Je suis chômeur, je cherche du travail. »

« J'ai une chambre libre pour toi si tu veux », dit-elle doucement en me tenant toujours la queue, mais en arrêtant la masturbation. Je ne pus m'empêcher de pousser les reins vers l'avant, espérant une reprise rapide du mouvement de sa main.

« Pourquoi ne resterais-tu pas quelques jours chez moi, jusqu'à ce que tu aies trouvé quelque chose ? Le seul hôtel du village est complet. Et je pense que tu n'as plus rien à me cacher maintenant, j?ai déjà tout vu !» ajouta-t-elle en riant.

« Oui, oui, d'accord, je veux bien », répondis-je avec empressement. Cette invitation tombait à pic, j'étais au bout du rouleau, je n'avais plus que très peu d?argent en poche, et plus rien à la banque. Le seul bien qui me restait était ma voiture.

« Veux-tu que je continue à te branler maintenant ? », me demanda-t-elle avec une lueur malicieuse dans le regard.

« Oui, oui, vas y donc ! », criai-je avec impatience.

Elle fronça les sourcils, et protesta,

« Quel ton tu emploies avec moi ! Tu pourrais me le demander gentiment ! »

« S'il te plaît, Paméla », dis-je d'une voix mourante, « S'il te plaît branle-moi encore ».

Sa main, qui tenait toujours ma queue fermement, se remit en mouvement,

et je fermai les yeux pendant que je m'abandonnais à cette sensation exquise.

Son mouvement devint plus rapide et prit de la vigueur, je sentis l'orgasme

se rapprocher à grande vitesse. Malgré mon grognement d'avertissement,

elle persévéra après que j'aie commencé à éjaculer, trayant à fond mon pénis.

Le sperme jaillit en abondance et se répandit sur mes cuisses, sur mon ventre,

et tout autour de moi. Finalement, je retombai en arrière sur le banc,

haletant, les yeux fermés, enfin soulagé. Je sentis que Paméla me nettoyait

soigneusement avec une serviette, et je me laissai faire, complètement

béat.

Mais soudain, j'entendis un "clic". J'ouvris brusquement les yeux, et je

vis que ma queue était à nouveau prisonnière dans le tube de chasteté.

« Oh, m e r d e de m e r d e , tu m'as remis cette saloperie ! », m'exclamai-je

en gémissant.

Paméla jeta tranquillement la serviette dans un panier.

« Tu es vraiment grossier, et je n'aime pas ça du tout ! », me

réprimanda-t-elle d'une voix sèche. Puis son visage s'éclaira d'un sourire,

et elle ajouta, « Moi aussi, tu sais, je suis comme ta petite amie, j'aime

bien prendre le contrôle. »

« Enlève-la moi tout de suite, je t'en supplie », suppliai-je.

« J'espère que tu ne me décevras pas », continua-t-elle, sans tenir compte

de ma demande. N'oublie pas que, dans un rayon de plus de cent cinquante

kilomètres, je suis la seule personne à pouvoir t'enlever ce truc ! »

« Cent ? cent cinquante? cent cinquante kilomètres ??? »

Je la fixai avec horreur. Me voyant me décomposer, elle éclata de rire,

puis, lentement, elle abaissa son jean et sa culotte, avant de s'étendre

sur le fauteuil inclinable du bureau.

« Et la première marque de bonne volonté que j'attends de toi, mon petit

Bill, c'est de me montrer ce que tu sais faire avec ta bouche. ».

Je la regardai intensément quelques secondes, abasourdi, puis je baissai

les yeux, ne pouvant supporter la flamme qui brillait dans son regard.

Lentement, je me levai du banc et je m'agenouillai devant elle, alors qu'elle

écartait les jambes. Sa toison sombre était déjà visiblement mouillée,

de même que sa petite culotte, tombée négligemment sur le sol. J'approchai

la tête de son entrejambes, et ses doigts se saisirent de mes cheveux,

pendant que ma langue commençait son exploration.

« Mmm! oui, je pense que je vais aimer ça », murmura-t-elle, en attirant

ma figure tout contre sa chatte et en serrant les cuisses autour de ma tête.

Je m'appliquai de mon mieux, guidé par la pression de sa main derrière

ma nuque, et encouragé par ses gémissements. Quand elle eut bien pris son

pied, elle tira mes cheveux vers l'arrière, m'écartant de son intimité, puis

elle me dit, songeuse,

« Dis-moi, Bill, tu m'as bien dit tout à l'heure que tu cherchais du travail

? »

« Oui, c'est exact », répondis-je.

« Eh bien écoute, j'ai une idée. Si tu veux, j'ai un emploi pour toi. »

« Un emploi pour moi ? Mais je ne connais rien à la serrurerie »,

m'étonnai-je.

« Oh, je n'ai pas besoin d'engager un serrurier, je m'en tire très bien

toute seule ! Mais, j'ai besoin d'un aide pour s'occuper de la maison, du

ménage , de la cuisine, du lavage et du repassage, et de toutes les autres

tâches que je pourrais te confier. » Elle fit une pause et ajouta en riant,

« Tu serais aussi à mon service pour mon plaisir personnel. »

Je la regardai, le visage en feu.

« Je ne sais pas si? »

« Je suis sûre que tu feras ça très bien », m'interrompit-elle en gloussant.

« Au besoin tu apprendras, je t'y aiderai ! Chez moi, tu seras logé et

bien nourri, payé au SMIC, déduction faite, bien sûr, du loyer de ta chambre

et des frais d'entretien. Ça te laissera chaque semaine un peu d'argent de

poche pour tes menues dépenses. »

Je la regardai, incertain, ne sachant trop quoi répondre. En fait elle

me proposait un travail d'employé de maison. J'avais espéré beaucoup mieux,

étant donné ma qualification professionnelle. Mais après tout, j'étais

chômeur, et je ne pouvais pas me montrer trop difficile. Que diable

voulait-elle dire en parlant de son plaisir personnel? ?

« Ton plaisir personnel ? Tu veux dire que je serai aussi ton amant ? »,

lui demandai-je, tout émoustillé.

« Toi mon amant, tu rêves ! », s'exclama-t-elle en éclatant de rire ; «

Oh! non, il n'en est pas question ! Mon plaisir personnel, mon cher Bill, ça

veux dire que tu me feras jouir avec ta langue chaque fois que je te le

demanderai, je trouve que tu fais ça très bien ! Et je te demanderai aussi

quelques massages. »

Elle fit une nouvelle pose et ajouta,

« Tu vois, Bill, je trouve que ton ex-petite amie était une femme très

avisée. Si tu acceptes l'emploi que je te propose, j'ai bien l'intention

de contrôler moi aussi ta vie sexuelle. »

« Comment, tu veux dire que tu me laisseras cette ceinture ? »,

m'indignai-je.

« Ne t?inquiète pas », dit-elle, si tu travailles bien, et si je suis

contente de tes services, aussi bien sur le plan professionnel que

personnel, je te branlerai de temps en temps. Bien sûr, il faut que tu

t'attendes à être solidement attaché sur le banc pendant tes branlettes,

je veux pouvoir te remettre ta ceinture de chasteté en place sans que tu me

poses de problème. Alors, qu'en penses-tu, es-tu d'accord ? »

J'étais toujours agenouillé devant elle, le regard fixe, le visage

décomposé, assommé par ses paroles.

« Tu as le choix tu sais. Si tu refuses cet emploi que je te propose, je

t'enlève aussitôt cet étui de chasteté, et tu pars tout de suite après, en

ne me payant que mon intervention. Mais décide-toi vite, tu ne trouveras pas

de sitôt une pareille occasion. »

Elle me souriait, me tenait par les cheveux, sans lâcher mon regard. Moi

je la regardais sans rien dire, fasciné, en sentant fondre ma résolution.

Si l'hôtel du village était vraiment complet, me dis-je, où coucherais-je cette

nuit ? Trouverais-je à proximité un autre hôtel avec une chambre libre?

Combien de jours pourrais-je tenir avec mes maigres économies, si je ne

trouvais pas rapidement un emploi ? Combien de kilomètres devrai-je faire

pour retrouver un autre serrurier ? Et après mon actuelle déconvenue,

aurais-je le courage d'avouer une nouvelle fois à quelqu'un d'autre ma

piteuse situation ? Toutes ces questions angoissantes tournaient dans ma

tête. Mais pour être franc, la raison principale de ma prise de décision,

c'est que je trouvais Paméla vraiment attirante, et que j'avais envie de

rester auprès d'elle. Je me dis qu'après tout, nos relations évolueraient

sans doute avec le temps vers une situation moins contraignante pour moi,

une véritable union amoureuse ? Peut-être arriverais-je même à la convaincre

de me libérer définitivement de cette odieuse ceinture. Aucune certitude

évidemment, mais enfin on peut toujours espérer. Après un moment de

réflexion, je capitulai.

« C'est bon, Paméla, j'accepte tes conditions », dis-je finalement.

« Très bien, on va dès demain remplir ton contrat de travail à durée

indéterminée. Si tu me donnes satisfaction sur tous les plans, j'espère

te garder longtemps avec moi. As-tu de la famille, des amis à prévenir ? »

« Non, je vis seul, il me suffira d'envoyer quelques lettres. »

« Parfait. Pour les formalités concernant ton changement de domicile, on

peut sans problème régler tout ça par correspondance. Et pour tes affaires,

connais-tu quelqu'un qui pourra te les renvoyer ici ? »

« Oui Paméla, je pense que la gardienne de mon immeuble pourra s'en occuper,

elle a les clés de mon studio meublé. De toutes façons je n'ai pas

grand-chose à moi. »

« Je te prends donc tout nu », dit Paméla en riant. Donc, dès maintenant,

considère-toi comme à mon service. Je te conseille de ne pas me décevoir,

n'oublie pas que tu es sous mon contrôle. Pas de branlette si je ne suis

pas totalement satisfaite ! Et bien sûr, je ne te permets plus la moindre

familiarité. Dorénavant, Bill, tu me vouvoieras et tu m'appelleras Patronne,

compris ? »

« Oui Patronne », dis-je, complètement dompté, en baissant humblement les

yeux.

« Bon, attends moi ici une minute. Profites-en pour nettoyer toute cette

saleté que tu as fait ! Regarde-moi ça, tu as mis du sperme partout ! Tu

trouveras serpillière et matériel de nettoyage sous l'évier, dans la

cuisine. »

Je m'empressai de lui obéir, tandis qu'elle-même prenait une douche, puis

qu'elle allait chercher dans sa chambre une culotte propre, et en revenait

pour enfiler son jean. Ensuite, elle alla calmement vers la porte, la

rouvrit, et enleva la pancarte marquée "Fermé". Enfin elle me dit, en me

montrant sa culotte souillée qui traînait par terre, « Maintenant, ramasse

cette culotte et va la laver à la main. Et pendant que tu y es, tu trouveras

dans la salle de bains un panier plein de linge sale. Tu laveras aussi

à la main toutes les pièces délicates. Pour le linge moins fragile, tu le

disposeras dans la machine à laver que tu la mettras en route. Quand tu

auras fini, tu prendras une douche et tu te rhabilleras. Tu as bien tout

compris ? »

« Oui Patronne, répondis-je d'une voix éteinte.

« Bon maintenant laisse-moi travailler. Ne traîne pas, va tout de suite

faire ce que je t'ai dit, et je veux que tout soit impeccable »,

conclut-elle en reprenant ses outils et en s'installant sur le banc

fraîchement nettoyé.

« À vos ordres, Patronne ! », dis-je en ramassant la culotte sale et en

m'éloignant diligemment vers la salle de bains.

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